Les constantes fondamentales sont-elles aussi bien connues que nous le pensons ?

Dans un travail récent, une équipe internationale impliquant les chercheurs, Cédric Delaunay du Laboratoire d'Annecy-le-Vieux de physique théorique (LAPTh, CNRS / Université Savoie Mont-Blanc) et Jean-Philippe Karr du Laboratoire Kastler Brossel (LKB, CNRS / Collège de France / ENS – PSL / Sorbonne Université) a proposé un réexamen des procédures habituelles par lesquelles les valeurs des constantes fondamentales sont extraites des jeux de données expérimentales.

Lire la suite : Les constantes fondamentales sont-elles aussi bien connues que nous le pensons ?

Pasquale Serpico, lauréat du Prix Friedel-Volterra 2022

Le prix Friedel-Volterra 2022 de la SFP a été décerné à Pasquale Serpico chercheur au LAPTh.

Pour honorer la mémoire de Vito Volterra et Jacques Friedel, la Société italienne de physique (SIF) en collaboration avec la Société française de physique (SFP), décerne un prix à un physicien impliqué dans une collaboration italo-française, en reconnaissance de son travail distingué pour ses recherches en physique menées au cours des 10 dernières années.

L'ensemble du laboratoire le félicite.

En savoir plus ici

Research involving LAPTh astroparticle group members makes the INTEGRAL picture of the month.

A new analysis of the ESA INTEGRAL/SPI satellite data ("Diffuse Galactic emission spectrum between 0.5 and 8.0 MeV") of LAPTh members (Joanna Berteaud, Francesca Calore, Joaquim Iguaz and Pasquale Serpico) with researchers of the Max-Planck-Institute for extraterrestrial Physics and Univ. of Würzburg was able to set a new record in determining the diffuse Galactic soft gamma-ray photon spectrum in the 0.5-8.0 MeV band, superseding the existing best measurements (due to the Compton telescope onboard NASA's Compton Gamma-Ray Observatory) going back to two decades ago.

Lire la suite : Research involving LAPTh astroparticle group members makes the INTEGRAL picture of the month.

Portrait de chercheur David Andriot

"J'ai la chance d'intégrer cette année le CNRS au sein du LAPTh, en tant que Directeur de Recherche, et c'est pour moi un rêve de longue date qui se réalise. C'est en effet dès le lycée que je me suis intéressé à la physique théorique des interactions fondamentales. Je me souviens de certaines lectures de vulgarisation qui m'ont décidé dès lors de tenter ma chance pour devenir chercheur dans ce domaine. S'en est suivi des classes préparatoires, puis l'École Normale Supérieure de Lyon, une thèse de doctorat à l'UPMC Paris 6, puis 11 ans de contrats à durée déterminée en Europe, avant d'être finalement recruté sur un poste permanent. Dans mes séjours en Allemagne (LMU et MPI Munich, MPI Potsdam), en Suisse (CERN Genève) et en Autriche (TU Wien), j'ai entraîné avec moi ma femme puis deux enfants. Nous avons vécu de belles choses à l'étranger, mais sommes finalement heureux de rentrer en France, qui plus est, en Rhône-Alpes d'où nous sommes originaires.

Lire la suite : Portrait de chercheur David Andriot